Le CEO Nikolaus Dürk écrit dans la préface actuelle :
"Notre troisième rapport sur la durabilité n'est pas une étape importante au sens classique du terme. Il montre plutôt le déroulement d'un chemin que nous parcourons ensemble depuis des années".
Nous avons discuté avec lui et Katharina Kloiber, CFO chez X-Net, de la raison pour laquelle la durabilité chez X-Net va bien au-delà des mesures écologiques - et de la manière dont les collaborateurs deviennent des co-créateurs.
"Nous ne voulons pas seulement faire un rapport - nous voulons continuer à penser".
schongenial : Monsieur Dürk, vous venez de publier votre troisième rapport de durabilité. Qu'est-ce qui vous a motivé à poursuivre dans cette voie ?
Nikolaus Dürk : Pour nous, la motivation réside dans la responsabilité que nous avons en tant qu'entreprise - vis-à-vis de nos collaborateurs, de notre région et de notre environnement. Pour nous, la durabilité n'est pas un thème à la mode, mais fait partie de notre identité d'entreprise. Dès 2020, nous savions que nous ne voulions pas nous contenter d'établir un rapport, mais que nous voulions aller plus loin dans notre réflexion. Le rapport n'est pas une fin en soi, mais l'expression et le reflet d'une responsabilité vécue envers la nature et la société.
schongenial : Madame Kloiber, en quoi ce rapport se distingue-t-il des rapports classiques sur le développement durable ?
Katharina Kloiber : Nous avons délibérément choisi une autre approche : participative, ouverte, humaine. Au lieu de comprimer des chiffres clés dans des tableaux, nous avons recueilli des histoires - issues du travail quotidien, de conversations, d'expériences personnelles. Il était important pour nous que ce rapport vive de l'intérieur. De nombreux collègues ont participé activement, que ce soit par des interviews, des contributions ou des questions critiques. Il en résulte un document honnête, qui s'est développé de manière organique et qui montre comment nous concevons et vivons la durabilité au quotidien.
schongenial : Concrètement, comment s'est déroulée la mise en œuvre ?
Katharina Kloiber : Pendant plusieurs mois, nous avons préparé les contenus avec Astrid Lenk et Desiree Szöky. Il y a eu des ateliers, des séances de réflexion, des votes. Cela n'a pas seulement donné lieu à des textes, mais aussi à de nouvelles idées et à des pistes de réflexion. Pour nous, le rapport n'était pas seulement un produit - c'était un processus.
Un miroir de la culture d'entreprise vécue.
schongenial : Quels sont les thèmes qui ont été particulièrement mis en avant cette fois-ci ?
Nikolaus Dürk : Avant tout les thèmes de la culture d'entreprise, de la participation et de l'interaction entre la responsabilité individuelle et l'action collective. De nombreuses contributions montrent à quel point nous prenons au sérieux des thèmes comme la diversité, la santé, la transparence ou l'autodétermination numérique. La gestion des erreurs ou la manière dont nous prenons des décisions font également partie de la réflexion. Le rapport montre que la durabilité n'est pas seulement verte - elle est sociale, économique et humaine.
schongenial : Comment le rapport a-t-il été accueilli en interne ?
Katharina Kloiber : Très bien. De nombreux collaborateurs s'y sont retrouvés ou ont trouvé une nouvelle inspiration. Il a déclenché des discussions - pas seulement sur la durabilité, mais sur notre travail commun.
Nikolaus Dürk : Et c'est le plus important pour nous : que le rapport ne disparaisse pas dans les archives, mais continue à avoir un impact dans l'entreprise.
Nous trouvons cette forme de rapport sur la durabilité #magnifique, car elle montre comment la vraie durabilité est créée - en écoutant, en participant et en ayant le courage de réfléchir à son propre parcours.